20 janvier 2008
Monolithe à Marie
J'aime les alanguissements de Marie, quand elle relâche la tension et adopte le décubitus, quand chacun de ses membres cherche la position de repos, quand ses seins s'aplatissent sur son buste, quand son cou se détend, quand ses épaules tendent à l'abscisse. C'est presque un paradoxe chez Marie, d'habitude plutôt tendue et nerveuse, cet abandon et cette lascivité. J'aime cet état chez elle qui signifie la confiance et la tendresse.
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