25 janvier 2008
Monolithe à Marie
J'aime le corps de Marie parce qu'il m'est, à la fois, inaccessible complètement en tant qu'objet de vénération et de contemplation (et de plaisir), et pourtant atteignible par mes sens et ma quête de sensations (et de plaisir). Parfois, j'aimerais, telle un peau, temporairement, endosser son corps pour le posséder complètement. Et non plus l'aborder par morceaux, incomplet.
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